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Les sœurs le Foll

Parents : Jean Marie Le Foll - NOTAIRE - né à SCRIGNAC en 1884

                Germaine Loaer - 1898 / 1984

 

 

Les trois sœurs, ardentes militantes bretonnes, faisaient partie de la chorale de Jef le Penven →

Elles se marieront avec des nationalistes bretons de premier plan.

Les beaux-frères :

Polig Monjarret marié à Louise (ZAÏG) le Foll 

Dorig le Voyer marié à Germaine (MENAÏG) le Foll 

Paul Perrin marié à ... le Foll

Polig et Zaïg Monjarret

polig monjarret
zaig monjarret

Nécrologie Zaïg Monjarret

Zaïg Monjarret a été enlevée dimanche à l'affection des siens, à l'âge de 75 ans.

Elle a joué en son temps un grand rôle dans le renouveau de la culture bretonne en faisant découvrir et apprécier dès les années 40 un répertoire de chants traditionnels bretons dont elle avait compris la beauté à une époque où il était de bon ton de mépriser la culture bretonne.

C'est par sa voix puissante et prenante, au timbre extraordinaire, qu'elle a su imposer les chants bretons, religieux ou profanes, dans la riche sonorité de leurs divers dialectes, affectionnant particulièrement le vannetais.

Après quelques 78 tours, elle enregistra après guerre aux éditions Monez Breiz, sur les premiers microsillons 45 tours édités en Bretagne, une quarantaine de chants superbes, pour la plupart collectés dans les campagnes avec son mari Polig, qu'elle accompagnait toujours.

De 1950 à 1970, elle donna de nombreux récitals sur toutes les scènes d'Europe et d'Europe Centrale, particulièrement bien sûr en Irlande, en Ecosse et en Galice.

Alan Stivell l'accompagnait à la harpe lorsqu'il avait 11 ans.

Appréciée aussi pour sa grande culture et son humour, elle a toujours soutenu son mari Polig, lors de la création du premier bagad ou des premières fêtes interceltiques. 

Source : Le télégramme du 22 août 2000

Leur fille :

Dorig et Menaïg le Voyer

polig et dorig

Polig Monjarret et Dorig le Voyer (1946)

Paul Perrin et ... le Foll

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