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Raymond Jestin

Ecrivain, assyriologue, philosophe, peintre. 

Né à Landerneau le 11 août 1902

Mort à Menton le 29 août 1991

Raymond Jestin

Rigakos

Remont Jestin

Raymond Riec

Raymond Jestin-Riec

Riec

Yann Gouer

PEINTRE

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Totalement autodidacte, il commence à peindre réellement en 1953.

Il est le peintre des paradis perdus, prodigue en mers et ciels bleus, en fleurs et en créatures inconnues.

Ses mondes paisibles voient régner l’harmonie. On y trouve une végétation touffue, tumultueuse, qui laisse à peine suffisamment de place pour quelques oiseaux rares sommeillant sur les branches des arbres.

L’œuvre de Riec-Jestin se distingue par un travail remarquable de la matière, et par un instinct de la couleur, du jeu des contrastes.

Source :

Spécialiste en langue Sumérienne
Docteur d'état

... René Labat réussit à en faire créer une section, destinée à l’enseignement du sumérien par Raymond Jestin.

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Reconstruire la carrière de celui-ci n’est pas des plus aisé car aucune nécrologie n’a été publiée après son décès en 1991.

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Il est vrai qu’il avait pris sa retraite en 1973 et que depuis déjà des années sa passion pour la peinture avait dépassé son intérêt pour l’assyriologie…

Nous avons laissé Jestin à Istanbul en 1935-1937.

Dans les années qui suivirent, il publia une série d’articles dans la Revue d’assyriologie sur des textes religieux sumériens (en 1938, 1942, puis 1947 et 1950).

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En 1943, il devint docteur d’État avec une thèse sur le verbe sumérien.

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Ce premier volume fut suivi par un second en 1946 et un volume de complément publié en 1954.

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Jestin entra à l’EPHE ( Ecole Pratique des Hautes Etudes ) en 1943 comme chargé de conférences, rattaché à la chaire de Labat : il poursuivit en 1944-1945 et 1945-1946.

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Dès l’année universitaire 1946-1947, il devint directeur d’études.

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En 1951, il publia un Abrégé de grammaire sumérienne, à une époque où les instruments de travail en sumérologie n’abondaient pas, surtout en français.

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On relève encore son fascicule de copies de Nouvelles tablettes sumériennes de Šuruppak du musée d’Istanbul en 1957 et son livre Notes de graphie et de phonétique sumériennes de 1965. 

Source :

Liens avec le nationalisme breton

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