Ololê
C'etait une publication nationaliste et catholique.
À partir de 1943, sa devise est "Doue ha Breiz".
Ololê proposait dans ses pages des articles sur l'histoire et la culture bretonne, des romans illustrés, des reportages , ainsi que des bandes dessinées, notamment Tintin au pays des Soviets.
Quelques textes sont publiés en breton.
Plusieurs auteurs de renom sont publiés dans les pages d'Ololê : Benjamin Rabier, Hergé, Job de Roincé >, Rémy Bourlès et surtout Étienne le Rallic > qui a illustré de nombreuses histoires parmi lesquelles :
Les loups de Coatmenez, de Jeanne Coroller-Danio >
La croisade des loups (suite des Loups de Coatmenez), de Jeanne Coroller-Danio et Herry Caouissin.
Ololê est un journal qui a une vaste audience .
Certains numéros sont tirés à 20 000 exemplaires.
L'Appel d'Ololê
En 1970, Herry Caouissin lance l'Appel d'Ololê, revue bimensuelle se situant explicitement dans la suite d'Ololê. Son sous-titre est « L’Illustré culturel des jeunes et des familles de Bretagne ».
L'Appel d'Ololê disparaît en 1974 après 26 numéros.
Les éditions Ololê
Ololê était également le nom d'une maison d'édition spécialisée dans la publication d'albums pour la jeunesse. Son nom apparaît souvent associé à celui du mouvement de jeunesse nationaliste Urz Goanag Breiz > et accompagné du texte "Éditions de Propagande Culturelle Bretonne pour la Jeunesse ".
Pourquoi ce titre Ololê ?