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Joseph di Costanzo

 Chef de la milice - Intendant du maintien de l'ordre en Bretagne -

LVF

Chef de cohorte SOL

Chef régional Groupes de sécurité

Chef de la milice en Bretagne

Joseph di costanzo milice

- Né le 27 février 1909 à Tunis.

Famille d'origine Italienne (Naples)

- Aurait été fusillé à Chelles le 27 août 44.

(compte rendu dans le registre de délibération du Comité de Libération)

N'a probablement jamais été retrouvé.

26 Août 1944 cérémonie "Te Deum" à Notre Dame de Paris
en présence du Général DE GAULLE ;
fusillades dans la Cathédrale et à l'extérieur.

Les faits

La libération de Paris pendant la Seconde Guerre mondiale eut lieu du 19 au 25 août 1944.

 

Pendant plusieurs jours, la population parisienne est partagée entre la peur et l'enthousiasme.

Les combats se poursuivent en banlieue nord, vers Le Bourget et la forêt de Montmorency, où la 47e Division d'infanterie allemande, venue du Pas-de-Calais, tente de freiner l'avance alliée.

À Paris même, des tireurs isolés, Allemands ou miliciens, sont signalés à plusieurs reprises.

Le 26 août, un défilé de la victoire sur les Champs-Élysées est organisé. La foule joyeuse salue les forces de Leclerc. La messe d'action de grâces à Notre-Dame est perturbée par une fusillade, car des résistants croient (peut-être à tort) avoir aperçu des tireurs embusqués.

Dans la nuit du 26 août peu avant minuit, la Luftwaffe lance un ultime raid en guise de représailles, qui touche surtout le nord et l'est de Paris. Les bombes incendiaires font de 189 à 200 morts. La commune de Bagneux est également touchée, ainsi que la ville de Sceaux qui compte deux morts.

De nombreuses rumeurs ont par ailleurs couru, dans les jours qui ont suivi la Libération, sur la présence de tireurs miliciens embusqués, restés sur place y compris après le départ des Allemands. Le gros des miliciens avait quitté la capitale quelques jours avant les premiers combats, leur chef Joseph Darnand ayant ordonné un repli général. On ignore combien de miliciens, demeurés dans la capitale, ont pris part aux combats : Darnand avait déclaré à Ribbentrop avoir laissé 200 miliciens à Paris ; l'historienne Michèle Cointet met en doute ce chiffre, dans lequel elle voit des « paroles de fanfarons ».

Il est possible que certains des tirs attribués à des miliciens embusqués aient été en réalité l'œuvre de groupes de résistants qui, dans la confusion générale, se seraient tiré les uns sur les autres. De Gaulle qualifiait quant à lui la rumeur sur les « tireurs des toits » miliciens de « tartarinade », exploitée par les communistes qui auraient ainsi voulu maintenir un état de vigilance armée contre les « ennemis de l'intérieur ». Il n'en est pas moins vrai que plusieurs FFI et policiers seront ainsi blessés et plusieurs de ces tireurs arrêtés.

Source : 

Joseph di Costanzo impliqué ?

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libération paris te deum
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